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Tamarin lion à tête dorée

Tamarin lion à tête dorée

Publié par le vendredi 26 janvier 2024

Tamarin lion à tête dorée

Le Tamarin lion à tête dorée, également appelé Singe lion doré, appartient à la famille des Callitrichidés.

Ce petit primate doit son nom à sa crinière spectaculaire de longs poils dorés qui encadrent son visage, lui donnant l’apparence d’un lion miniature. Son pelage, brillant et soyeux, est majoritairement noir sur le corps, contrastant avec la teinte éclatante de sa tête et de sa crinière. Ses membres, agiles et fins, ainsi que sa longue queue non préhensile, lui permettent de se déplacer rapidement dans la canopée.

Le Tamarin lion à tête dorée mesure environ 20 à 30 cm, avec une queue qui peut atteindre 35 à 40 cm. Il pèse en moyenne entre 500 et 700 grammes, les mâles et les femelles ayant une taille similaire.

Endémique aux forêts tropicales humides du sud-est du Brésil, notamment dans l’État de Bahia, il vit dans les arbres, où il forme de petits groupes familiaux composés de 2 à 8 individus. Ces groupes sont généralement dirigés par un couple reproducteur dominant.

Le Tamarin lion à tête dorée est omnivore : il se nourrit principalement de fruits, de nectar, de fleurs, d’insectes, de petits vertébrés et même de gomme d’arbres. Son rôle dans la dispersion des graines est crucial pour l’équilibre de l’écosystème forestier.

Cette espèce est en danger critique d’extinction en raison de la destruction de son habitat naturel, causée par la déforestation et l’expansion agricole.


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Gibbon à bonnet

Publié par le lundi 2 août 2021

Gibbon à bonnet

Le Gibbon à bonnet appartient à la famille des Hylobatidés, qui regroupe les gibbons, ces primates agiles et gracieux connus pour leur mode de déplacement unique : le brachiation.

Ce primate de taille moyenne doit son nom au bonnet sombre qui orne le sommet de sa tête, contrastant avec la teinte plus claire de son visage entouré d’un anneau blanchâtre distinctif. Son pelage varie du brun foncé au noir chez les mâles, tandis que les femelles arborent une robe plus claire, oscillant entre le beige et le brun doré. Son corps élancé et ses longs bras lui permettent de se balancer avec une grande agilité à travers la canopée.

Le Gibbon à bonnet mesure environ 60 à 90 cm de long, avec un poids moyen allant de 6 à 9 kg. Contrairement aux singes du Nouveau Monde, il ne possède pas de queue, mais compense par une exceptionnelle adresse dans les déplacements arboricoles.

On le trouve principalement dans les forêts tropicales et subtropicales d’Asie du Sud, notamment en Inde (Assam, Arunachal Pradesh), au Bangladesh et au Myanmar. Il vit en petits groupes familiaux composés d’un couple monogame et de leurs jeunes, entretenant des liens forts grâce à des duos vocaux puissants qui servent à marquer leur territoire et renforcer les relations sociales.

Le Gibbon à bonnet est frugivore, se nourrissant principalement de fruits, de fleurs, de jeunes feuilles et occasionnellement d’insectes. Son rôle dans la dispersion des graines est crucial pour le maintien de la biodiversité forestière.

Cette espèce est menacée en raison de la déforestation, de la fragmentation de son habitat et du braconnage.


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Macaque ouandérou

Publié par le lundi 2 août 2021

Macaque ouandérou

Le Macaque ouandérou, également appelé macaque à queue de lion, appartient à la famille des Cercopithécidés. Ce primate au pelage sombre est facilement reconnaissable grâce à sa crinière argentée encadrant son visage noir, lui donnant une apparence majestueuse et distinctive.

Son corps est recouvert d’un pelage noir épais et soyeux, tandis que sa longue crinière blanche ou grise entoure sa tête, accentuant son regard perçant. Sa queue, plus courte que celle d’autres macaques, se termine par une touffe de poils en forme de pinceau.

Le Macaque ouandérou mesure en moyenne 45 à 60 cm, avec une queue d’environ 25 cm. Son poids varie entre 2 et 10 kg, les mâles étant généralement plus imposants que les femelles.

Endémique aux forêts tropicales humides des Ghâts occidentaux, en Inde du Sud, ce macaque est principalement arboricole, se déplaçant avec agilité dans la canopée, bien qu’il descende parfois au sol pour chercher de la nourriture. Il vit en groupes sociaux de 10 à 20 individus, dirigés par une hiérarchie bien établie.

Son régime alimentaire est omnivore, composé majoritairement de fruits, de graines, de feuilles, de fleurs, ainsi que d’insectes et de petits vertébrés. Il joue un rôle écologique important en dispersant les graines, contribuant ainsi à la régénération de son habitat forestier.

Le Macaque ouandérou est en danger d’extinction en raison de la déforestation, de la fragmentation de son habitat et du braconnage.


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Hurleur noir

Publié par le lundi 2 août 2021

Hurleur noir

Le Hurleur noir, également appelé Alouate noir, est un primate de la famille des Atélidés, connu pour ses vocalisations impressionnantes qui résonnent dans les forêts tropicales.

Ce singe arbore un pelage uniformément noir chez les mâles, tandis que les femelles et les jeunes présentent un pelage brun clair ou doré. Son corps robuste est accompagné d’une queue préhensile puissante, souvent utilisée comme un cinquième membre pour s’accrocher aux branches et se déplacer avec aisance dans la canopée. Son visage est sombre et entouré de poils plus longs formant une sorte de collerette.

Le Hurleur noir mesure entre 50 et 70 cm, avec une queue pouvant atteindre la même longueur. Les mâles pèsent en moyenne 7 à 9 kg, tandis que les femelles sont plus petites, pesant environ 5 à 6 kg.

Il habite les forêts tropicales denses et les zones humides d’Amérique centrale et du Sud, notamment au Brésil, en Argentine, au Paraguay et en Bolivie. Ce singe vit en groupes sociaux composés de 5 à 20 individus, dirigés par un mâle dominant.

Le Hurleur noir est principalement folivore, se nourrissant de feuilles, mais il consomme également des fruits, des fleurs et des graines. Son régime alimentaire riche en fibres lui permet de vivre dans des habitats où les fruits sont rares.

Ce primate est célèbre pour ses cris puissants, émis grâce à son os hyoïde élargi qui amplifie le son. Ces vocalisations, audibles jusqu’à 5 km, servent à délimiter le territoire et à communiquer avec d’autres groupes.


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Atèle varié

Publié par le lundi 2 août 2021

Atèle varié

L’Atèle varié, également appelé Atèle noir et roux ou Singe-araignée noir et roux, appartient à la famille des Atélidés.

Ce primate est connu pour son apparence élégante et sa morphologie adaptée à la vie arboricole. Il se distingue par son pelage contrasté, noir sur la majeure partie du corps et roux ou brun orangé sur les flancs, le dos et les épaules. Son visage est noir et entouré d’un cercle de peau claire autour des yeux et du museau, ce qui lui donne un regard expressif. Ses membres longs et fins, ainsi que sa queue préhensile et puissante, font de lui un grimpeur exceptionnel, capable de se suspendre et de se déplacer avec une grande agilité dans la canopée.

L’Atèle varié mesure environ 40 à 50 cm de long, sans compter sa queue, qui peut atteindre 70 à 85 cm. Il pèse entre 7 et 9 kg, les mâles étant généralement plus grands que les femelles.

On le trouve dans les forêts tropicales denses d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, notamment au Brésil, en Colombie, au Venezuela et en Équateur. L’Atèle varié vit en groupes sociaux pouvant compter jusqu’à 30 individus, bien qu’ils se divisent souvent en petits sous-groupes pour chercher de la nourriture.

Il est principalement frugivore, mais complète son alimentation avec des feuilles, des graines et parfois des fleurs. Son rôle est crucial pour la dispersion des graines, contribuant ainsi à la régénération des forêts.

l’Atèle varié est classé comme espèce en danger critique d’extinction en raison de la déforestation, de la fragmentation de son habitat et de la chasse.


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Capucin à poitrine jaune

Publié par le lundi 2 août 2021

Capucin à poitrine jaune

Le Capucin à poitrine jaune, également appelé Sapajou à poitrine jaune, fait partie de la famille des Cebidés.

Ce singe se distingue par son pelage dense et soyeux de couleur brun foncé à noir, avec une teinte jaunâtre bien marquée sur la poitrine et le ventre, d’où il tire son nom. Sa tête est souvent ornée d’une petite crête ou d’un motif sombre en forme de capuchon. Son visage, encadré par des poils plus clairs, est dépourvu de poils autour de la bouche et du nez, ce qui accentue ses expressions vives et curieuses.

Le Capucin à poitrine jaune mesure entre 30 et 45 cm, avec une queue préhensile de longueur similaire qui lui sert d’outil supplémentaire pour grimper et se déplacer dans les arbres. Les mâles sont généralement plus imposants, atteignant jusqu’à 4 kg, tandis que les femelles pèsent autour de 2,5 à 3 kg.

On le trouve dans les forêts tropicales d’Amérique du Sud, notamment au Brésil, au Venezuela et dans les Guyanes. Arboricole et diurne, ce singe vit en groupes sociaux hiérarchisés pouvant compter jusqu’à une trentaine d’individus.

Omnivore opportuniste, le Capucin à poitrine jaune se nourrit principalement de fruits, de noix, d’insectes, de petits animaux et parfois d’œufs. Il est également connu pour son intelligence exceptionnelle, utilisant parfois des outils, comme des pierres pour casser des noix, un comportement rare dans le règne animal.


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Ouistiti commun

Publié par le lundi 2 août 2021

Ouistiti commun

Le Ouistiti commun, également appelé Ouistiti à toupet blanc, appartient à la famille des Callitrichidés.

Ce petit primate se distingue par son pelage gris-brun parsemé de nuances claires, et surtout par ses touffes blanches caractéristiques situées de part et d’autre de sa tête. Ses grandes oreilles rondes et sa face nue, marquée par une peau rosée ou sombre, lui confèrent un regard expressif. Sa queue, annelée de noir et de gris, est longue et préhensile, lui permettant de s’équilibrer avec agilité dans les arbres.

Le Ouistiti commun mesure environ 20 à 25 cm de long, sans compter sa queue qui peut atteindre 30 cm. Les deux sexes se ressemblent beaucoup, mais les femelles sont légèrement plus grandes que les mâles.

Il habite principalement les forêts tropicales et subtropicales d’Amérique du Sud, notamment au Brésil. Ce petit singe est très sociable et vit en groupes familiaux pouvant compter jusqu’à une douzaine d’individus.

Le Ouistiti commun est une espèce omnivore : il se nourrit de fruits, d’insectes, de petits vertébrés et de sève d’arbres, qu’il extrait grâce à ses incisives spécialement adaptées.


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Tamarin pinché

Publié par le lundi 2 août 2021

Tamarin pinché

Le Tamarin pinché, également connu sous le nom de Tamarin à crête blanche, appartient à la famille des Callitrichidés.

Ce petit primate est immédiatement reconnaissable à sa crête spectaculaire de longs poils blancs qui s’étend du sommet de sa tête jusqu’à la nuque. Son visage, dépourvu de poils, est noir, contrastant avec son pelage majoritairement blanc sur le corps et légèrement brunâtre ou roux sur le dos et les flancs. Sa longue queue, non préhensile, est brune à son extrémité.

Le Tamarin pinché mesure environ 20 à 25 cm, avec une queue atteignant 30 à 35 cm, et pèse à peine 500 grammes. Les mâles et les femelles sont très semblables en apparence.

Cette espèce est endémique des forêts tropicales humides de Colombie, où elle habite aussi bien les sous-bois que les cimes des arbres. Le Tamarin pinché vit en petits groupes sociaux de 2 à 9 individus, menés par une femelle dominante.

Il est omnivore et se nourrit de fruits, d’insectes, de nectar et parfois de petits vertébrés. Son rôle dans la dispersion des graines en fait un acteur clé de son écosystème.

Le Tamarin pinché est aujourd’hui en danger critique d’extinction en raison de la déforestation, de la fragmentation de son habitat et du commerce illégal d’animaux.


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Saïmiri du Pérou

Publié par le lundi 2 août 2021

Saïmiri du Pérou

Le Saïmiri du Pérou, également appelé singe-écureuil du Pérou, appartient à la famille des Cébidés. Ce petit primate est reconnu pour son agilité et son apparence vive, qui le distinguent au sein des forêts tropicales d’Amérique du Sud.

Son pelage est majoritairement jaune doré sur les membres et le dos, tandis que son ventre est plus clair, allant du crème au blanc. Sa tête arbore un masque facial distinctif, avec des tons gris et noirs contrastant avec ses grands yeux expressifs. Sa queue, longue et non préhensile, lui sert principalement de balancier lors de ses déplacements acrobatiques dans la canopée.

Le Saïmiri du Pérou mesure environ 25 à 35 cm, avec une queue qui peut atteindre 35 à 42 cm. Il pèse en moyenne entre 700 et 1 200 grammes, mâles et femelles présentant une légère différence de taille, les mâles étant généralement plus robustes.

On le trouve principalement dans les forêts tropicales humides du bassin amazonien, notamment au Pérou, en Équateur et dans l’ouest du Brésil. Ce primate est diurne et arboricole, évoluant en groupes sociaux pouvant compter plusieurs dizaines d’individus. Ces groupes sont très dynamiques et utilisent une large gamme de vocalisations pour communiquer, avertir d’un danger ou coordonner leurs déplacements.

Le Saïmiri du Pérou est omnivore, se nourrissant principalement de fruits, de graines, d’insectes, de petits vertébrés et de nectar. Il joue un rôle écologique fondamental en dispersant les graines, contribuant ainsi au renouvellement de la forêt.

Bien que son statut de conservation soit actuellement moins préoccupant que d’autres primates, il est menacé par la déforestation, la chasse et le commerce illégal.


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Ouistiti pygmée

Publié par le lundi 17 mai 2021

Ouistiti pygmée

Le Ouistiti pygmée, également appelé singe nain, est le plus petit primate du monde et appartient à la famille des Callitrichidés.

Ce tout petit singe arbore un pelage dense et soyeux, généralement brun doré à grisâtre, parsemé de reflets orangés ou jaunâtres. Son visage, petit et délicat, est entouré de poils plus clairs, et ses grands yeux vifs témoignent de son agilité et de sa curiosité. Sa queue, longue et annelée, peut dépasser la taille de son corps et n’est pas préhensile, bien qu’elle aide à son équilibre.

Le Ouistiti pygmée mesure seulement 12 à 16 cm de long, sans compter sa queue qui peut atteindre 20 cm. Il pèse en moyenne 100 à 150 grammes, ce qui en fait un véritable poids plume parmi les primates.

On le trouve dans les forêts tropicales d’Amérique du Sud, principalement au Brésil, en Colombie, en Équateur et au Pérou, où il habite les sous-bois et la végétation dense le long des cours d’eau. Ce singe vit en petits groupes familiaux composés de 2 à 6 individus, dirigés par un couple reproducteur dominant.

Le Ouistiti pygmée est spécialisé dans l’exploitation de la sève des arbres, qu’il extrait grâce à ses incisives acérées. Il se nourrit également de fruits, d’insectes et de nectar, mais la sève reste sa principale source d’énergie.


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Saki à face blanche

Publié par le samedi 6 juin 2020

Saki à face blanche

Le Saki à face blanche, également connu sous le nom de Saki moine, appartient à la famille des Pithéciidés.

Ce singe de taille moyenne se distingue par son dimorphisme sexuel marqué. Le mâle arbore un pelage noir épais et une face blanche contrastante qui lui donne un aspect unique et reconnaissable. La femelle, quant à elle, présente un pelage brun-grisâtre uniforme avec une face plus discrète, souvent tachetée ou marquée de nuances sombres. Leur queue longue et touffue n’est pas préhensile, mais elle leur sert à s’équilibrer lors de leurs déplacements arboricoles.

Le Saki à face blanche mesure environ 30 à 40 cm de long, avec une queue de taille similaire, et pèse entre 1,5 et 2 kg.

On le trouve dans les forêts tropicales humides d’Amérique du Sud, notamment au Brésil, au Venezuela, en Colombie et dans les Guyanes. Il est particulièrement à l’aise dans la canopée, où il se déplace en sautant d’arbre en arbre avec agilité.

Le Saki à face blanche est principalement frugivore, mais il consomme aussi des graines, des fleurs, des insectes et parfois de petits vertébrés. Son régime alimentaire varié et sa mâchoire puissante lui permettent de se nourrir de fruits à coque dure, qui sont inaccessibles à d’autres espèces.


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Patas

Publié par le samedi 6 juin 2020

Patas

Le Patas, également appelé singe rouge ou singe hussard, appartient à la famille des Cercopithécidés.

Ce primate est facilement reconnaissable à son pelage court de couleur roux-ocre, qui lui a valu son surnom de « singe rouge ». Son visage noir est encadré par des poils blancs autour de la bouche et sur les côtés, tandis que le sommet de sa tête est surmonté de poils brun-gris formant une sorte de calotte. Ses membres longs et fins, particulièrement ses pattes postérieures, sont adaptés à la course rapide sur le sol.

Le Patas est l’un des singes les plus rapides, capable de courir à plus de 55 km/h, une capacité qui lui permet de fuir rapidement les prédateurs dans les vastes savanes qu’il habite. Les mâles, plus grands que les femelles, peuvent mesurer jusqu’à 85 cm de long et peser environ 12 kg, tandis que les femelles atteignent 60 cm et pèsent autour de 6 kg.

Ce singe vit dans les savanes et les zones semi-arides d’Afrique de l’Ouest et de l’Est, où il forme des groupes sociaux composés d’un seul mâle adulte et de plusieurs femelles avec leurs petits. Les jeunes mâles quittent le groupe à maturité pour mener une vie solitaire ou rejoindre des groupes de célibataires.

Le Patas est omnivore et se nourrit principalement de fruits, de graines, de gomme d’acacia, ainsi que d’insectes. Sa capacité à s’adapter à des environnements arides et à exploiter des ressources variées est remarquable.

Bien que le Patas ne soit pas actuellement en danger, la perte de son habitat due à l’expansion humaine et l’agriculture intensive représentent une menace croissante pour sa population.


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Macaques de Barbarie

Publié par Jonathan Patin le lundi 11 mars 2019

Macaques de Barbarie

Le magot ou macaque de Barbary est un singe de 4 saisons,  il vit habituellement au nord du désert du Sahara et en Europe.

Individu très social, il vit en groupe, se nourrit de fruits, de feuilles, d’écorces, de bulbes et de champignons mais parfois aussi d’insectes et d’autres petits invertébrés. Le soir il monte dormir dans les arbres à l’abri des prédateurs…

Avec moins de 10 000 individus à l’état sauvage, l’espèce est considérée comme en danger d’extinction depuis 2008 pourtant il ne bénéficie pas de programme d’élevage européen, mais seulement d’un studbook européen (deuxième niveau de programme européen d’élevage pour les espèces menacées).


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Gélada

Publié par Jonathan Patin le dimanche 10 mars 2019

Gélada

Le gelada est un primate unique, souvent confondu avec un babouin, bien qu’il appartienne à une lignée distincte. Il est endémique aux hauts plateaux d’Éthiopie et se distingue par son mode de vie terrestre et son impressionnante crinière.

Son pelage est dense et épais, variant du brun au doré, avec une crinière abondante chez les mâles, leur donnant une allure majestueuse. L’une de ses particularités les plus marquantes est la tache rouge en forme de cœur sur son poitrail, qui devient plus vive chez les individus en période de reproduction. Contrairement à d’autres primates, il passe la majeure partie de son temps à terre plutôt que dans les arbres.

Le gelada mesure environ 50 à 75 cm, avec une queue pouvant atteindre 50 cm. Les mâles sont nettement plus grands que les femelles, pouvant peser jusqu’à 20 kg, tandis que les femelles atteignent environ 12 à 15 kg.

Il vit exclusivement sur les plateaux rocheux d’Éthiopie, évoluant dans des zones d’altitude où il passe ses journées à brouter. En effet, il est l’un des rares primates essentiellement herbivores, se nourrissant principalement d’herbes, de racines et de graines. Il complète parfois son alimentation avec des fleurs et des insectes.

Le gelada est un animal hautement social, vivant en groupes pouvant compter plusieurs centaines d’individus. Ces groupes sont organisés en petites unités familiales dirigées par un mâle dominant entouré de plusieurs femelles et de leurs petits.

Le gelada est menacé par la réduction de son territoire due au pâturage intensif et à l’agriculture.


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Tamarin lion doré

Publié par Jonathan Patin le vendredi 15 février 2019

Tamarin lion doré

Le tamarin lion doré est le plus grand des tamarins. Originaire d’Amérique du Sud, il est diurne, arboricole et vit en groupe de 5 à 6 individus multi-mâles, multi-femelles. Il se nourrit d’insectes et de fruits qu’il cherche dans les plantes ou au sol, d’araignées et de grenouilles. Ce petit primate est géré dans le cadre d’un programme d’élevage européen.


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Tamarin empereur

Publié par Jonathan Patin le vendredi 15 février 2019

Tamarin empereur

Le tamarin empereur est un petit primate élégant et reconnaissable entre tous grâce à sa longue moustache blanche qui lui donne une apparence noble et distinctive. Il évolue principalement dans les forêts tropicales d’Amérique du Sud, où il se déplace avec agilité parmi les branches.

Son pelage est principalement gris et brun, avec une teinte plus sombre sur le dos et une coloration plus claire sur le ventre. Sa queue, longue et non préhensile, est d’un roux vif, contrastant avec le reste de son corps. Mais ce qui attire le plus l’attention, c’est sa moustache blanche, qui s’étend de chaque côté de son museau en longues courbes élégantes.

Ce tamarin mesure environ 23 à 26 cm, avec une queue pouvant atteindre 40 cm. Il ne pèse généralement pas plus de 500 grammes, ce qui en fait un primate léger et très agile.

On le trouve dans les forêts tropicales humides du bassin amazonien, notamment au Brésil, au Pérou et en Bolivie. Il vit en petits groupes familiaux de 3 à 8 individus, où la coopération est essentielle. Ce sont souvent les mâles qui portent les petits et s’occupent d’eux, tandis que la femelle dominante est la seule à se reproduire.

Le tamarin empereur est omnivore, se nourrissant principalement de fruits, de nectar, de gomme d’arbres et d’insectes, mais aussi parfois de petits vertébrés. Il joue un rôle écologique essentiel en contribuant à la dispersion des graines et au contrôle des populations d’insectes.

Bien qu’il ne soit pas en danger critique, il est menacé par la déforestation et la fragmentation de son habitat.


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Tamarin de Goeldi

Publié par Jonathan Patin le vendredi 15 février 2019

Tamarin de Goeldi

Le tamarin de Goeldi est diurne, arboricole, et vit en groupe de 2 à 8 individus multi-mâles, multi-femelles. Il vit très bien avec d’autres espèces comme les tamarins empereurs, les douroucoulis, ou encore les singes hurleurs.

Il consomme essentiellement des feuilles et des fruits. Il est le plus végétarien de tous les tamarins. Nous le retrouvons en Bolivie, Colombie, dans les forêts tropicales sèches, il n’aime pas les endroits trop souvent humides et vit dans la canopée. Il est géré par un programme d’élevage européen.


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Ouistitis de Geoffroy

Publié par Jonathan Patin le vendredi 15 février 2019

Ouistitis de Geoffroy

Petit primate originaire d’Amérique du Sud, ce callitricidé est diurne et vit en groupe d’environ 9 individus multi-mâles, multi-femelles.

Rapide et agile il peut grimper jusqu’à 500 m d’altitude. Dans le milieu naturel, il préfère la forêt secondaire à la forêt primaire ou les lisières de forêt.

Les callitricidés sont les seuls singes chez lesquels les ongles se sont modifiés en griffes, permettant ainsi une locomotion plus aisée sur les troncs des arbres dans lesquels ils vivent. Leur pelage est d’un brun noirâtre avec des teintes grises dessus, brun foncé dessous. Leur queue est annelée de noir et de gris. Ils ont la particularité d’avoir de longues touffes noires autour des oreilles, ainsi qu’un large masque blanc qui déborde de leur visage.

Les ouistitis de Geoffroy se nourrissent de façon variées. Ils sont à la fois gommivore, frugivore, et insectivore. Ils sont gérés par un programme d’élevage européen.


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Lémur mongos

Publié par le samedi 2 février 2019

Lémur mongos

Le lémur mongos est un primate endémique de Madagascar, appartenant à la famille des lémuridés. Il se distingue par son pelage dense et son masque facial sombre qui contraste avec le reste de son corps.

Son pelage varie du brun foncé au gris sur le dos, tandis que son ventre est plus clair. Sa tête est marquée par une bande noire qui entoure ses yeux et descend jusqu’au museau, donnant à son visage une expression intense. Sa longue queue touffue, bien que non préhensile, lui sert d’équilibre lorsqu’il évolue dans la canopée.

Le lémur mongos mesure environ 35 à 40 cm, avec une queue qui peut atteindre 50 cm. Son poids varie entre 1,5 et 2 kg. Il est principalement arboricole et se déplace avec agilité parmi les branches, bien qu’il descende parfois au sol à la recherche de nourriture.

On le trouve dans les forêts tropicales humides de l’est et du nord de Madagascar. Il vit en petits groupes familiaux où la hiérarchie sociale est dominée par les femelles. Ce mode de vie matriarcal est courant chez les lémuriens.

Son régime alimentaire est essentiellement frugivore, mais il consomme également des feuilles, du nectar, des fleurs et parfois des insectes. Il joue un rôle écologique essentiel en dispersant les graines, contribuant ainsi à la régénération de la forêt.

Le lémur mongos est menacé par la déforestation, la chasse et la fragmentation de son habitat.


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Lémur macaco

Publié par le samedi 2 février 2019

Lémur macaco

Le Lémur macaco, également appelé lémur noir, appartient à la famille des Lémuridés et est l’une des espèces emblématiques de Madagascar. Ce primate est connu pour son dimorphisme sexuel marqué, les mâles et les femelles ayant une apparence très différente.

Les mâles arborent un pelage entièrement noir, soyeux et dense, avec des yeux d’un orange vif contrastant fortement avec leur fourrure sombre. Les femelles, en revanche, ont un pelage brun-roux à fauve, avec un visage noir et des touffes de poils plus claires autour des oreilles, leur donnant une apparence plus contrastée.

Le Lémur macaco mesure environ 40 cm de long, avec une queue pouvant atteindre 50 cm. Son poids varie entre 1,5 et 2,5 kg. Sa longue queue touffue, bien que non préhensile, l’aide à maintenir son équilibre lorsqu’il évolue dans la canopée.

On le trouve principalement dans les forêts tropicales humides du nord-ouest de Madagascar, notamment sur l’île de Nosy Be et dans les forêts adjacentes. Ce lémur est diurne et arboricole, bien qu’il descende parfois au sol pour se nourrir. Il vit en groupes sociaux de 5 à 12 individus, où les femelles dominent, comme chez la plupart des lémuriens.

Le Lémur macaco est frugivore, consommant principalement des fruits, des fleurs, du nectar et occasionnellement des feuilles et des insectes. Il joue un rôle écologique essentiel en dispersant les graines, contribuant ainsi à la régénération des forêts malgaches.

Cette espèce est menacée en raison de la déforestation, de la chasse et du commerce illégal.


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Lémur couronné

Publié par le samedi 2 février 2019

Lémur couronné

La plus petite espèce de lémuriens hébergée au parc mais aussi l’une des plus rapides.

Le Lémur couronné, est un primate endémique de Madagascar appartenant à la famille des Lémuridés. Son nom lui vient du motif distinctif en forme de couronne sur son front, qui lui confère une apparence élégante et unique parmi les lémuriens.

Ce lémur présente un dimorphisme sexuel marqué :

  • Les mâles arborent un pelage gris-brun, avec une tête noire et une couronne orange sur le sommet du crâne.
  • Les femelles, quant à elles, ont une fourrure plus claire, généralement brun-roux, avec une face grisâtre et une couronne plus discrète.

Le Lémur couronné mesure environ 35 à 40 cm, avec une queue longue et touffue pouvant atteindre 45 cm. Son poids varie entre 1,2 et 1,6 kg. Sa queue, bien que non préhensile, lui sert d’équilibre lorsqu’il se déplace avec agilité dans la canopée.

Il vit principalement dans les forêts sèches du nord de Madagascar, notamment dans la région d’Ankarana et de la Montagne d’Ambre. Ce primate est diurne et arboricole, évoluant en petits groupes sociaux de 4 à 8 individus dirigés par des femelles dominantes, comme c’est souvent le cas chez les lémuriens.

Son régime alimentaire est frugivore, bien qu’il consomme aussi des feuilles, des fleurs, du nectar et occasionnellement des insectes. En tant que disperseur de graines, il joue un rôle clé dans le maintien de la biodiversité des forêts malgaches.

Le Lémur couronné est menacé par la déforestation, la chasse et la fragmentation de son habitat.


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Lémur à ventre roux

Publié par le samedi 2 février 2019

Lémur à ventre roux

Le lémur à ventre roux est un primate endémique de Madagascar appartenant à la famille des lémuridés. Il se distingue par son pelage contrasté et son comportement discret, évoluant principalement dans la canopée des forêts tropicales.

Son dos est recouvert d’un pelage brun-gris, tandis que son ventre arbore une teinte rousse plus ou moins prononcée. Sa tête est marquée par un masque sombre autour des yeux, qui contraste avec son front plus clair. Sa longue queue, bien que non préhensile, lui sert de balancier lors de ses déplacements dans les arbres.

Ce lémur mesure environ 35 à 40 cm, avec une queue atteignant 45 à 50 cm. Son poids varie entre 1,5 et 2 kg. Il est essentiellement arboricole et adopte un mode de vie discret, se déplaçant avec agilité dans la canopée.

On le trouve dans les forêts humides de l’est de Madagascar, où il vit en petits groupes familiaux. Comme beaucoup de lémuriens, il présente une hiérarchie sociale dominée par les femelles, qui jouent un rôle central dans l’organisation du groupe.

Son régime alimentaire est principalement frugivore, mais il consomme également des feuilles, des fleurs et du nectar. Il contribue ainsi à la régénération des forêts en dispersant les graines qu’il ingère.

Le lémur à ventre roux est menacé par la déforestation et la fragmentation de son habitat, principalement due à l’agriculture et à l’exploitation forestière. Il est également chassé dans certaines régions.


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Lémur vari roux

Publié par le samedi 2 février 2019

Lémur vari roux

Le lémur vari roux est l’un des lémuriens les plus spectaculaires de Madagascar, reconnaissable à son pelage flamboyant et sa voix puissante. Il appartient à la famille des lémuridés et vit principalement dans la canopée des forêts humides de l’est de l’île.

Son pelage est un mélange de roux intense, de noir profond et de blanc, avec des variations selon les individus. Sa tête, ses membres et sa queue sont généralement noirs, tandis que son dos et les parties latérales de son corps sont d’un roux éclatant. Sa fourrure est épaisse et dense, lui offrant une bonne protection contre l’humidité de son habitat.

Ce lémur mesure environ 50 à 60 cm, avec une queue touffue pouvant atteindre 60 cm. Son poids varie entre 3 et 4,5 kg, ce qui en fait l’un des plus grands lémuriens. Il est principalement arboricole et passe la majeure partie de son temps dans les hautes branches, utilisant ses puissantes pattes postérieures pour sauter d’arbre en arbre.

On le trouve dans les forêts tropicales humides de l’est de Madagascar, notamment dans la région de Masoala. Il vit en groupes pouvant atteindre 15 individus, avec une structure sociale où les femelles dominent. Très vocal, il utilise une large gamme de cris pour marquer son territoire et communiquer avec ses congénères.

Le lémur vari roux est essentiellement frugivore, bien qu’il consomme aussi du nectar, des graines et des feuilles. Il joue un rôle crucial dans la dispersion des graines et la pollinisation, notamment en s’alimentant du nectar des fleurs de certains arbres endémiques.

Cette espèce est gravement menacée par la déforestation, la fragmentation de son habitat et la chasse. Il figure parmi les lémuriens les plus menacés.


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Maki catta

Publié par le samedi 2 février 2019

Maki catta

Le maki catta est l’un des lémuriens les plus emblématiques de Madagascar, facilement reconnaissable à sa longue queue annelée de noir et de blanc. Il appartient à la famille des lémuridés et se distingue des autres lémuriens par son mode de vie plus terrestre.

Son pelage est majoritairement gris sur le dos, tandis que son ventre est blanc. Sa tête arbore un masque noir autour des yeux, contrastant avec son museau allongé et sa face claire. Sa queue, bien que non préhensile, joue un rôle essentiel dans la communication et l’équilibre lorsqu’il se déplace.

Le maki catta mesure environ 40 à 45 cm, avec une queue qui peut atteindre 55 cm. Il pèse entre 2 et 3,5 kg. Contrairement à de nombreux lémuriens arboricoles, il passe une grande partie de son temps au sol, bien qu’il grimpe avec agilité dans les arbres.

On le trouve principalement dans les forêts sèches et les zones broussailleuses du sud de Madagascar. Il vit en groupes sociaux pouvant compter jusqu’à 30 individus, dirigés par des femelles dominantes. Ce mode de vie matriarcal est typique des lémuriens.

Le maki catta est omnivore, se nourrissant de fruits, de feuilles, de fleurs, d’écorce et parfois d’insectes. Il joue un rôle clé dans la dispersion des graines, contribuant ainsi à l’équilibre des écosystèmes malgaches.

Menacé par la déforestation, la chasse et la capture pour le commerce illégal, il voit son habitat se réduire chaque année.


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